16 juin 2015
Tout commence en 2003 par des vertiges aigus qui m'ont immobilisé pendant plus de 5 semaines, associés à des douleurs intenses cote droit dans la région hépatobiliaire, de violentes crampes de l'œsophage, une fatigue intense. Ces symptômes rendant impossible toutes activités familiales, professionnelles et sociales. Incapacité de me lever, de m'occuper de mes enfants. Ce qui a conduit mes médecins à chercher de nombreuses pathologies, passant de maladies ORL à recherche d'une tumeur au cerveau. A l'époque, une cousine m'indique une naturopathe. Je m'y rendais en désespoir de cause. Elle me dit : vous êtes empoisonnée. Il est urgent de désintoxiquer. Je suivais donc ses recommandations : éviction des protéines animales pendant 1 mois, boire ce que j'appellerais une « potion magique » à base de plantes, prise de vitamines et minéraux quotidienne.
Un vrai bénéfice ressentit en une semaine de ce traitement naturel. Une semaine plus tard, j'avais retrouvé ma forme et pu reprendre mes activités.
Un an était passé, j'avais gardé quelques habitudes alimentaires recommandées mais les symptômes étaient de retour, à intensité réduite mais nécessitant des arrêts d'activités, des périodes difficiles. Je retournai donc consulter Ma naturopathe préférée, régulièrement et ce, pendant quelques années.
Les années passaient toujours avec une fatigue chronique, mais je tenais bon et arrivait tant bien que mal à essayer de vivre sensiblement ‘normalement'.
Fin 2007, des symptômes additionnels apparurent. Urticaire généralisée quotidienne (3 crises / jour en moyenne), œdèmes (3/semaine), chocs anaphylactiques, douleurs intenses côté droit, douleurs musculaires, osseuses. Je commençais donc une période de trois ans d'examens médicaux ; Ces examens devant être faits pour écarter toutes pathologies reconnues associées à ces symptômes.
Malgré tous les efforts de mes médecins allopathes, l'efficacité des traitements ne s'avéraient pas satisfaisante.
7 ans étaient passés avec des impacts non négligeables sur ma vie familiale, ma vie professionnelle, parfois des retraits de vie sociale dans les moments les plus difficiles. A l'évidence, une certaine fragilité morale, une usure, un ras le bol de ne pas voir d'amélioration voire de constater un impact avec météorologique, une hypersensibilité au froid, à l'alimentation, aux variations de pression atmosphérique, accentuant notablement les symptômes.
A l'évidence, il fallait que je gère mes priorités. Ma priorité était la santé. Je décidais donc mettre ma carrière en standby et de chercher par moi-même dans des revues médicales nationales et internationales en sélectionnant précautionneusement les articles. Ce afin qu'ils puissent être vérifiés.
Je continuais ma route, doucement mais surement, dans mes investigations, sans en parler à quiconque pas même à ma famille.
Je ne voulais surtout pas être détournée de mon objectif : aller mieux, recouvrer une vie normale. Je décidais de croiser les informations que je trouvais et les vrais allergies déclarées. Tout me ramenait à ces mots que je n'avais pas considérés pendant toutes ces années : allergie, intolérance, empoisonnement, intoxication.
En parallèle, j'avais déjà contacté le Dr Dieuzaide pour établir un diagnostic sur mes intolérances potentielles. …
Le Dr Dieuzaide m'a testé sur de nombreuses matières et matériaux ; et oui c'était confirmé j'étais intolérante à certains matériaux et certaines matières en bouche.
Il fallait remplacer les couronnes en priorité. Au fur et à mesure des déposes, un mieux-être. La dépollution faisait son chemin.
Je peux affirmer que j'ai retrouvé l'énergie perdue, je n'ai pas fait un œdème, ni de choc anaphylactique depuis 9 mois. Je réagis de moins en moins aux variations atmosphériques, à l'alimentation. Je retrouve une vie normale.
Je souhaite donc remercier tous les médecins qui m'ont suivie et qui me suivent encore, sans oublier mes kine, mon ostéopathe et tout particulièrement le Dr Dieuzaide qui fait un travail remarquable de recherche des causes racines et de recherches des matériaux compatibles.
En conclusion, je ne pourrais que suggérer de ne pas hésiter à se faire tester, de ne jamais abandonner, à challenger ses médecins comme vous challenger vos hiérarchies !
Vous gagnerez du temps en bien être.
L'essentiel étant la qualité de vie.