18 mars 2008
J’ai 47 ans et je dirige une PME agro-alimentaire en 1998. Depuis de nombreuses années je souffre de tensions au niveau de la nuque qui dégénèrent souvent en maux de tête voire migraines ; tous les 2 à 3 mois, je rendais visite à un ostéopathe, pensant qu’il s’agissait certainement de problèmes cervicaux liés en partie à la pratique du rugby.
J'étais aussi atteint par une fatigue chronique généralisée de plus en plus soutenue. Bien que pratiquant régulièrement de nombreuses activités sportives (vélo tennis, randonnée), je dois avouer que je devais me faire violence pour pratiquer ces sports : j’avais l’impression d’habiter un corps usé bien qu'étant encore jeune.
Je dois ajouter à ceci des problèmes de tensions thoraciques et de fortes tensions – permanentes- au niveau du dos. Pour ces dernières, j’avais commencé des séances de kiné dès l’âge de 16 ans sans que cela ne s’améliore.
J’avais également régulièrement des troubles de la vision, plus précisément une variation anachronique de la netteté de ma vision, accompagnée de lourdeurs au niveau des sourcils. En 2006, on m'a diagnostiqué un glaucome sans qu’il y ait de tension oculaire anormale et d’antécédents familiaux. Mon ophtalmo ne comprenait pas les raisons de ce glaucome et m’a même diagnostiqué une tumeur comme probable explication à ses observations.
Suite à cela j’ai été pris en charge par les meilleurs spécialistes du CHU de Nantes, qui m’ont fait de nombreux examens pendant un an avant de me conseiller une opération, qui a été réalisée à la clinique Sourdille. Pendant toute cette période, mes yeux étaient souvent douloureux avec la sensation très nette du nerf optique qui tirait l’œil vers l’arrière.
Je passe sur les différents diagnostics qui m'ont été annoncés : spasmophilie, dépression, maladie psychosomatique…
Lors de ma première visite chez le docteur Dieuzaide, j'ai procédé à des exercices de souplesse qui ont mis en évidence un corps totalement bloqué. Nous avons ensuite réalisé différents tests avec des matériaux : certains débloquaient l’amplitude de mes mouvements comme par magie. Le docteur Dieuzaide m’a diagnostiqué une incompatibilité aux métaux et amalgames.
Je dois reconnaître que je suis d’abord sorti de chez Monsieur Dieuzaide très circonspect, avec un mélange d’espoir et de doute. Ces tests m’avaient paru tellement spectaculaires qu’ils me rendaient très méfiant. Malgré cela, j’ai pris la décision de faire ôter mes amalgames et autres couronnes.
Le docteur Dieuzaide m’a d'abord extrait les couronnes ainsi qu’une partie des amalgames de la moitié gauche de ma bouche. A ma stupéfaction, dès cette première séance, j’ai retrouvé une mobilité de rotation de ma tête vers la gauche. Cette nuit-là, je me suis réveillé à 3 heures du matin avec une sensation de relâchement telle que j’étais déjà reposé comme je ne l'avais pas été depuis des années.
Durant les jours qui suivirent, ce relâchement se confirma, avec la sensation bizarre d'avoir la moitié gauche du crane libérée alors que la partie droite gardait encore une pression que je ressentais auparavant de manière permanente sur l’ensemble de la tête.
Durant les deux mois suivants, Monsieur Dieuzaide m’ôta tous les amalgames et couronnes de la bouche. Tous les matériaux qui les remplacèrent furent testés. Après la dernière séance et de façon continue, j’ai senti une amélioration de mon état général que je peux traduire ainsi :
- Disparition totale de la tension au niveau de la nuque (qui m’avait fait acquérir un tic d’étirement qui faisait réagir ma femme !) ;
- Disparition des tensions dans le dos (qu'aucun médecin, acupuncteur ou ostéopathe n'avait pu faire disparaître en 20 ans) ;
- Disparition des douleurs intercostales qui m’inquiétaient parfois la nuit ;
- Disparition de la lourdeur des paupières et des douleurs au niveau des yeux, de cette sensation que le nerf optique tirait sur mes yeux
- Retour de la vitalité, de la souplesse physique, de la vitesse, meilleure récupération.
Je ne suis pas à même d’expliquer scientifiquement le pourquoi de ces améliorations, même si des amis ingénieurs ne paraissent pas autrement surpris des interactions possibles de métaux entre eux ou avec leur environnement dans un milieu acide.
J’ai évoqué cela avec des amis du milieu médical qui sont plus circonspects, et qui me parlent d’auto-persuasion avec politesse ! Je dois cependant avoué être surpris que l’auto persuasion soit le seul argument raisonnable qui me soit opposé par des professionnels de la santé ; pourquoi l’auto-persuasion n’aurait-elle pas fonctionnée avec des acupuncteurs ou des ostéopathes ???
Je pense qu’il est peut-être important de se poser des questions avec humilité, d’explorer méthodiquement, scientifiquement les pistes ouvertes par Mr Dieuzaide pour fournir des explications rationnelles plutôt que de conclure trop hâtivement. (peut-être pour le confort intellectuel ou tout simplement par conservatisme
Mars 2008